C’est ainsi que, pratiquement, «le sentier des justes est comme la lumière resplendissante qui va croissant jusqu’à ce que le plein jour soit établi» (Prov. Le fidèle, c’était Gaïus, non pas lui (voir v. 5). On voit, par plusieurs passages, que ne pas croire, c’est désobéir (voir Actes 5:32; 2 Thess. «Personne n’est monté au ciel, sinon celui qui est descendu du ciel, le fils de l’homme qui est dans le ciel» (v. 13). Ils ne prenaient rien des Gentils (ou: des nations), bien qu’ils circulaient parmi eux et leur prêchaient la parole. Ce qui prouve la réalité des besoins chez Nicodème, c’est qu’il vient de nuit. Ainsi Nicodème vient à Jésus en pensant augmenter ses connaissances comme docteur de la loi. 01 Il y avait un homme, un pharisien nommé Nicodème ; c’était un notable parmi les Juifs.. 02 Il vint trouver Jésus pendant la nuit. Au moment où il allait le consommer, l’Éternel lui cria des cieux de ne point mettre la main sur l’enfant. Pour dissiper si possible l’étonnement de Nicodème, Jésus peint l’action de l’Esprit par une comparaison empruntée à la nature. Il importe de ne pas oublier les vérités pratiques qui découlent de ces versets 20 et 21, car les épaisses ténèbres morales de ce monde nous enveloppent de tous côtés, et conviennent, malheureusement, à notre cœur naturel qui aime cette atmosphère. Le Seigneur lui-même répond à cette question: «Et comme Moise éleva le serpent dans le désert, ainsi il faut que le fils de l’homme soit élevé, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle (v. 14). Il doit revêtir «les armes de la lumière» (Rom. Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 3,13-17. En ce temps-là, Jésus disait à Nicodème : « Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais obtienne la vie éternelle. S’il leur avait fait la conduite d’une manière digne d’un prince, cela aurait été magnifique, mais il l’avait fait d’une manière digne de Dieu! Les hommes ayant la bonne autorisation foisonnent, mais ils n’apportent pas la vérité. Il faut considérer fréquemment la beauté, la douceur, la gloire d’un tel titre, la grandeur d’un tel privilège. C’était, en effet, le grand sujet qui préoccupait tout Israélite pieux. Gardez-vous de vous privilégier aux autres. Pour naître de nouveau, il faut une œuvre tout autre que celle de la nature; il faut la puissance de Dieu comme pour la création; car c’est par sa Parole et son Esprit que Dieu tira du néant la première création. Il n’existe aucun autre moyen d’être sauvé qu’en croyant en lui. C’est vrai et ça m’est utile. Beaucoup de personnes, aujourd’hui, veulent avoir à faire avec Dieu et ne rien savoir de son Fils; c’est inutile; elles mourront dans leur péché. Les mots «en vérité, en vérité», si souvent employés dans cet évangile, équivalent à «amen, amen» et affirment absolument la vérité des paroles du Seigneur. Ce qui est né de l’Esprit, est esprit, participe à la nature divine. Mais ils ne pouvaient connaître Dieu comme Père, révélé dans le Fils, avant la rédemption accomplie et la venue du Saint Esprit. Jean 3, 16-18 - Dieu a tant aimé le monde Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique. Jean / Jean 3,16-21 Jean 3,16-21. Jésus et Nicodème. Après l’ascension du Seigneur, les apôtres, Paul surtout, les ont pleinement révélées. Nul n'est monté au ciel sinon celui qui est descendu du ciel, le Fils de l'homme. Le saint obéissant est introduit dans cette merveilleuse intimité, et il peut donc être reconnu comme un ami de Christ. C’est une idée très répandue que l’homme doit accréditer le message — Un Tel est dûment ordonné, donc ce qu’il dit doit être juste. Jésus continue en disant: « En vérité, en vérité, je te dis: Nous disons ce que nous connaissons, et nous rendons témoignage de ce que nous avons vu, et vous ne recevez pas notre témoignage. Si je vous ai parlé des choses terrestres, et que vous ne croyiez pas, comment croirez-vous, si je vous parle des choses célestes? On a beau prétexter son humanité, son abaissement, son humiliation, pour ne pas croire en lui, dire comme les Juifs au chapitre 9: «Donne gloire à Dieu, nous savons que cet homme est un pécheur», cela ne change rien aux déclarations de Dieu. Et je vous donnerai un cœur nouveau, et je mettrai au dedans de vous un esprit nouveau» (Lire Ézéchiel 36:24-28; 37:9). Chapitre 3. Jean 5:36,37 Moi, j'ai un témoignage plus grand que celui de Jean; car les oeuvres que le Père m'a donné d'accomplir, ces oeuvres mêmes que je fais, témoignent de moi que c'est le Père qui m'a envoyé. Prier avec l'Évangile du jour. Jean le Baptiseur avait parlé du Seigneur à deux de ses disciples, André et Jean qui, ayant entendu, étaient venus à Jésus, l’avaient vu et avaient demeuré auprès de Lui. 1 Jean 3, 1 - 3 . Sommes-nous de Dieu ou ne L’avons-nous pas vu? La fin du verset 5 pourrait laisser supposer qu’il était question de deux classes de personnes: 1) les frères, et 2) les étrangers. «Devons» est un mot qui exprime une obligation, non pas quelque chose de facultatif. 14:17). 33520 BRUGES, FRANCE, © 2021 - BibleEnLigne.com - Mentions Légales - Quoique homme ici-bas, Jésus restait Dieu, présent partout, vivant dans le ciel aussi bien que sur la terre: réalité insondable pour des êtres tels que nous, mais que nous avons le bonheur de croire. Tous droits réservés. Jean rend un témoignage éclatant à la gloire de Jésus. Jean 3/7b-15. L’excuse très probable était que ces frères qui voyageaient n’avaient pas d’autorisation, et qu’il tenait à ce qui était ordonné et officiel. Non seulement ces frères étaient sortis pour le Nom, mais ils prenaient aussi une place de dépendance de leur Maître. Pour la nouvelle, il faut aussi l’action de la Parole et de l’Esprit. Ce monde, qui réservait à Jésus l’accueil le plus haineux, le plus meurtrier, a été aimé de Dieu au point qu’il donna son Fils, afin que quiconque crût en lui ne pérît pas, mais eût la vie éternelle. B porte : vous la première fois, nous la seconde. Jean 3. Nous serons tous examinés finalement à la lumière de la vérité quand nous nous tiendrons devant le tribunal de Christ. La jalousie ! - Le petit discours que Nicodème adresse à Jésus nous renseigne sur le degré de ses lumières et la nature de sa foi. Le fils de l’homme, cloué sur la croix, fait péché pour nous, a satisfait à toutes les exigences de la justice inflexible du Dieu trois fois saint que nous avions offensé. La marche d’un chrétien doit être lumière au milieu des ténèbres, et vérité au milieu de l’erreur. Il est très possible qu’il considérait que sa vigueur était une preuve de fidélité à l’ordre et à la dignité. Notre petite épître se termine de manière très similaire à la deuxième épître. Nous nous rencontrons et nous enquérons: «comment allez-vous?», et considérant qu’il va de soi que la question concerne notre corps, nous répondons gaiement (en règle générale): «très bien, merci». Il ne comprenait pas que Dieu rejetait le système dans lequel il voulait encore être instruit, et qu’il lui fallait une autre nature que celle de l’homme en Adam, tout religieux et bien intentionné qu’il fût, pour être enseigné de Dieu. On venait là pour se faire baptiser. Le souffle de l’Esprit agit dans une famille, dans une contrée; il y a des conversions. «Le vent souffle où il veut, et tu en entends le son; mais tu ne sais pas d’où il vient, ni où il va: il en est ainsi de tout homme qui est né de l’Esprit» (v. 8). Il les considérait évidemment selon la vraie lumière. du bien ou du mal? Si cela signifie qu’il a été converti par le moyen de Jean, cela voudrait dire qu’il n’est pas un des autres Gaïus mentionnés dans l’Écriture. Il ne les voulait pas dans l’assemblée. Aujourd’hui le pécheur parle facilement contre Dieu. Maintenant le ministère prophétique se terminait et celui de Jésus commençait; il introduisait un état de choses tout nouveau, bien supérieur au précédent. Dans la seconde épître, Jean nous dit qu’il s’était fort réjoui de trouver des enfants de la dame élue marchant dans la vérité. « 1 Voyez de quel grand amour le Père nous a fait don, que nous soyons appelés enfants de Dieu ; et nous le sommes ! L’épouse appartient à l’époux, et la joie qu’il a de posséder son épouse fait la joie de son ami. Il ne pouvait donc pas les tolérer. Rien de plus explicite: Dieu le Père voulait sauver les pécheurs, leur donner la vie éternelle; il ne pouvait le faire depuis le ciel: il envoie son Fils sur la terre, lui remet toutes choses, lui donne toute autorité; il sait qu’il accomplira tout selon ses propres pensées pour sauver le pécheur; si quelqu’un refuse ce moyen et désobéit en refusant de croire, il demeure sous la colère de Dieu, éternellement privé de la vie refusée dans la personne du Fils de Dieu. 20 j 13.18-20). Pour tout résumer, le mot qui revient le plus souvent pour décrire laction de Dieu-Père est celui de « donner » : Croire, cest accueillir les paroles de Jésus, cest reconnaître que ce quil fait reflète laction de Dieu, et donc que Jésus est lenvoyé de Dieu, son messie et son fils. Pourquoi Diotrèphe agissait-il ainsi? Cette joie, celle de Jean le précurseur du Messie, était accomplie; il ne pouvait rien désirer de plus; il avait atteint l’apogée du bonheur, qui n’avait été celui d’aucun prophète. Ce qui naît de l’Esprit est animé par l’Esprit (Jean 3.6). La vie éternelle n’est pas seulement une vie qui dure éternellement; elle est la vie par laquelle il est possible d’être parfaitement heureux dans ce monde et dans le ciel par la connaissance du Père révélé dans le Fils. Puis, au lieu de manifester un esprit de rivalité, il compare Christ à un époux, tandis que lui est l’ami de l’époux. Semblables aux Israélites, mordus par les serpents brûlants dans le désert, tous les hommes sont atteints mortellement par le péché et ses conséquences, et tous, laissés à eux-mêmes, demeureraient éternellement dans cet état. En contraste avec les hommes auxquels Jésus ne se fiait pas, quoiqu’ils crussent en son nom, Nicodème vient à Jésus avec de vrais besoins. Et il séjourna là avec eux, et il baptisait. En contraste avec les hommes auxquels Jésus ne se fiait pas, quoiqu’ils crussent en son nom, Nicodème vient à Jésus avec de vrais besoins. C’est pourquoi nous devons tous veiller pour demeurer pratiquement sous l’effet de la lumière. Jean 3:3 Jésus lui répondit: En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu. Si Nicodème et tous les Juifs avaient compris la gloire de la personne qui se trouvait là, quel changement se serait opéré en eux! Le verset 18 dit le contraire; il applique le salut non pas au monde dans son ensemble, mais à celui qui croit: «Celui qui croit en lui n’est pas jugé». Il y a le danger toujours présent que celui qui a un talent aille le cacher dans la terre et ne fasse rien. L’assurance que Jean avait quant à la prospérité spirituelle de Gaïus ne provenait pas de contacts personnels, car ils étaient éloignés l’un de l’autre et communiquaient par lettre. Jean 17 3 explication. Celui qui a l’épouse est l’époux; mais l’ami de l’époux, qui assiste et l’entend, est tout réjoui à cause de la voix de l’époux; cette joie donc, qui est la mienne, est accomplie» (v. 27-29). Mais par-dessus tout, la vérité elle-même lui rendait témoignage. La vérité nous présente un étalon de référence infaillible quant à ce qui est bon, et si le cas de Démétrius était examiné à la lumière de la vérité, la vérité elle-même rendait un bon témoignage en sa faveur. Cependant il envoya son Fils non pour juger, mais pour sauver. C’est peut-être la phrase la plus connue de toute la Bible qui est proposée à notre méditation ce dimanche, une semaine après la Pentecôte, alors que nous entrons dans le temps liturgique de l’Eglise. Le verset 16, bien connu de tous, indique la source d’un salut si merveilleux: c’est l’amour de Dieu. Et de plus il ne voulait pas recevoir l’apôtre, au moins quant à son autorité, et parlait contre lui avec malveillance. Démétrius est placé devant nous comme un exemple qu’il est bon de suivre. Les paroles du Seigneur en Luc 9:49-50 énoncent pratiquement ce principe, et il est clairement et définitivement arrêté dans les deuxième et troisième épîtres de Jean. Dans les versets 9 et 10, nous trouvons un exposé du triste état de choses dans une certaine assemblée, ce qui a contraint l’apôtre à écrire de cette manière. Nous avons vu, dans les versets précédents, que tout a été accompli à la croix, afin que quiconque croit ait la vie éternelle: il est sauvé parce qu’il croit que Christ a porté sur la croix le jugement qui devait l’atteindre. Il avait pour objet le Seigneur; il l’avait vu; il était satisfait; sa joie était complète. Cependant il vaut mieux aller de nuit à Jésus pour écouter sa parole que de n’y pas aller du tout. Là, le croyant doit refuser l’accès de sa maison à celui qui n’apporte pas la vérité, et il ne doit pas s’identifier en quoi que ce soit avec lui. Centre Biblique, 15 rue Pierre Andron, On comprend que «toute bouche sera fermée». Jean 13. Il le traite comme le méchant serviteur; il l’appelle un homme dur. L’évangéliste tire conclusion de cette déclaration en disant: «Celui qui croit au Fils a la vie éternelle; mais celui qui désobéit au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui». Au jugement des nations vivantes qui est encore à venir, selon Matthieu 25, ceux qui sont les brebis, les bénis de Dieu, révèlent l’état de leur cœur par ce qu’ils ont reçu les messagers du Fils de l’homme, qui les considère comme Ses frères. Le fait est que le Seigneur suscite des serviteurs selon Son plaisir souverain, et ne demande ni permission ni conseil à personne. Il trouve qu’il satisfait mal les désirs de sa créature. Il parait donc qu’il avait dû les traiter avec une bonté supérieure! Il ne le faisait pas en faveur d’amis ou de gens auxquels Dieu fût redevable; il le consentait librement pour «des impies», «des pécheurs», «des ennemis», dit l’apôtre Paul en Romains 5:5-10. 5:8), parce qu’il participe à la nature de Dieu qui est lumière. C’est une astuce classique dans les controverses de noircir le caractère de celui dont on ne peut pas réfuter les arguments, mais c’est doublement méprisable quand on se le permet parmi ceux qui ont à combattre pour la vérité. Il y a dans cette parole plus à adorer, à croire, à aimer qu’à expliquer. Maintenant, son témoignage terminé, cet évangile ne parle plus de lui; Jésus occupera toute la place. Il rappelle à ses disciples qu’ils l’ont entendu affirmer qu’il n’était pas le Christ, mais envoyé devant lui; ils auraient dû comprendre pourquoi tous venaient au Seigneur. Au chapitre 10:17, Jésus dit: «À cause de ceci le Père m’aime, c’est que moi je laisse ma vie, afin que je la reprenne». Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 3/7b-15. Si le pécheur entrait en jugement devant Dieu, c’était la mort éternelle selon la justice divine; mais que devenaient alors les pensées éternelles du Dieu qui est amour? Personne ne recevait son témoignage venu du ciel, même au sujet du royaume terrestre, pas même un docteur de la loi. Jean 3.16 est une référence en abrégé d'un verset de la Bible. Heureux d’entendre sa voix, il ne cherche pas à prendre sa place. «Dieu a tant aimé le monde», composé d’hommes pécheurs, envers lesquels il a usé de patience pendant quatre mille ans, avant la venue de Christ; ayant employé tous les moyens possibles pour les ramener à lui, mais sans autre résultat que le péché et la révolte. Jean 3:1-8. Et il dit ici: «Il faut que le fils de l’homme soit élevé», nécessité aussi absolue que la première, vu les exigences de la justice de Dieu. Jésus dit de Jean, dans le passage de Matthieu cité plus haut, que «le moindre dans le royaume des cieux est plus grand que lui». En contraste avec Diotrèphe volontaire et désobéissant, il y avait ceux qui étaient effectivement les amis de Christ, et ceux-là étaient reconnus comme amis par l’apôtre et par tous ceux qui marchaient dans la vérité. Il veut en savoir davantage sur ce qu’enseignait celui qu’il reconnaissait comme «un docteur venu de Dieu». Et nous le sommes. Les disputes ! Celui qui ne croit pas demeure sous le jugement, non qu’il soit plus pécheur que d’autres, mais parce qu’il n’a pas cru en celui que Dieu a donné pour le sauver. Nicodème ignorait tout cela; il se croyait, sans doute, comme enfant d’Israël, un fidèle sujet du royaume de Dieu, mais Israël ne présenta guère les caractères du royaume de Dieu, même dans les plus beaux jours de son histoire; car «le royaume de Dieu n’est pas manger et boire, mais justice, et paix, et joie dans l’Esprit Saint» (Rom. Ce qu’ils en avaient dit rendait témoignage au fait que la vérité demeurait en lui, et qu’elle s’exprimait dans sa vie, car il marchait dans la vérité. C’est une affirmation très encourageante, spécialement pour ceux d’entre nous qui peuvent ne pas posséder de dons éclatants. Mais dans leur nature ténébreuse et opposée à Dieu, désirant faire le mal qui est l’aliment du pécheur, les hommes ont préféré les ténèbres pour continuer à satisfaire leur mauvaise nature, plutôt que de venir à la lumière qui, tout en les reprenant, leur apportait la vie éternelle. Tout ce que Dieu demande du pécheur, c’est qu’il croie en son Fils, venu pour régler la question du péché à sa pleine satisfaction. Jésus dit «C’est ici la vie éternelle, qu’ils te connaissent seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ» (Jean 17:3). Pierre avertit les anciens de ne pas agir «comme dominant sur des héritages» (1 Pierre 5:3). Ils en eussent été émerveillés; ils l’auraient écouté; mais dans leur état naturel ils ne le pouvaient pas. S’il en était ainsi, il nous présente un tableau très heureux de quelqu’un qui ne s’est pas lassé à faire le bien. Sept grandes vérités — Jean 3:16. Mais ici la Parole est appelée «l’eau» à cause de son action purificatrice. Le serpent d’airain, dans le désert, est un type de Christ élevé sur la croix, fait péché pour nous. Il avait reçu son ministère du ciel, tandis que Jésus venait du ciel, «le fils de l’homme qui est dans le ciel». Tous savaient qu’il faisait le bien, et Jean lui-même en rendait témoignage. Mais cela n’avait pour racine que le vieux pharisaïsme de l’amour de la position et de la prééminence. Tous les réveils ou renouveaux de ces derniers temps ont été marqués par ce même fait. Les saints qui suivraient jouiraient, en vertu de la mort et de la résurrection du Seigneur, de bénédictions plus grandes, comme épouse de Christ, tout spécialement; quoique cette part ne lui appartînt pas, il se montrait content de la sienne. 2:9). Jésus lui montre comment elle s’opère, lui en prouve la nécessité, non seulement pour voir le royaume dans la personne de Jésus, mais pour y entrer: «En vérité, en vérité, je te dis: Si quelqu’un n’est né d’eau et de l’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. — Nous avons vu que Jésus, «Fils de l’Homme qui est dans le ciel», apportait ici-bas la connaissance des choses célestes dans lesquelles il vivait constamment; mais pour en profiter, il fallait la vie éternelle, que l’homme ne possédait pas. Voyez ! Par ses paroles, Jean résume, en quelque sorte, le ministère de Jésus et ses conséquences. Non seulement il avait pourvu à leur entretien, mais il leur a fait la conduite dans leur voyage «d’une manière digne de Dieu». Commentaire biblique de 1 Jean 3.1 Chapitre 3. La foi, ce n'est pas croire aux miracles, mais bien croire à l'Ecriture et à la parole que le Seigneur a dite (2 : 22). Mais de même qu’il y avait urgence à fortifier la dame élue contre les approches subtiles du mal, et cela ne souffrait aucun délai, il était tout aussi urgent de confirmer Gaïus dans son œuvre d’hospitalité et de soutien de ceux qui étaient dans le bien et dans la vérité, justement quand d’autres les rejetaient. Mais le principe est faux en entier. Jean 3,13-17. Croire en lui c’est avoir actuellement la vie éternelle (A et non aura). Nous croyons solennellement que «débiter de méchantes paroles» contre les serviteurs du Seigneur est une plaie douloureuse de nos jours. Si le monde ne nous connaît pas, c'est qu'il ne l'a pas connu. Jésus veut faire comprendre d’emblée à Nicodème que Dieu n’enseignait plus la vieille nature. Ceci nous renvoie au chapitre 15 de son évangile où nous trouvons le Seigneur disant: «Vous êtes mes amis, si vous faites tout ce que moi je vous commande» (Jean 15:14); et encore: «Je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j’ai ouï de mon Père» (Jean 15:15). Il a mis sa propre chair au feu, selon un adage argentin. Il n’est pas dit: Nous avons la possibilité de recevoir, mais «nous DEVONS recevoir de tels hommes». Il vint trouver Jésus pendant la nuit. (v. 17-21). Mais ultimement, croire cest accepter de dire que Jésus vit une telle intimité avec Dieu (le Père est en moi et moi dans le Père) quil peut porter le même titre quon attribue à Dieu dans la Bible : Je Suis. Et l'on venait et on était baptisé. Si nous ne recevons pas de TELS hommes, nous ne marchons pas dans la vérité. Nouveau témoignage de Jean le Baptiseur. De ces choses toutes nouvelles, le Seigneur en parlait, lui, le fils de l’homme qui était dans le ciel; il rendait témoignage de ce qu’il avait vu. Modèle des petits et des grands, soumis à ses parents dans son enfance, et, dans tout son ministère, à la volonté de Dieu son Père, il faisait «toujours les choses qui lui plaisent». Jean l’introduit pour ainsi dire par ces versets 35, 36, comme il conclut au chapitre 20:31 en disant: «Ces choses sont écrites afin que vous croyiez que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, et qu’en croyant vous ayez la vie par son nom». Il leur répondit: «Un homme ne peut rien recevoir, à moins qu’il ne lui soit donné du ciel. Jean, de son côté, baptisait à Aïnone, près de Salim, où l'eau était abondante. À un tel objet de son amour, Dieu le Père pouvait tout remettre, tout ce qui regarde le salut des pécheurs, l’accomplissement de tous ses conseils, comme l’exercice de ses jugements, lorsque le temps sera venu. — «Mais il y avait un homme d’entre les pharisiens, dont le nom était Nicodème, qui était un chef des Juifs. Il fallait l’œuvre de Dieu pour le recevoir, et «celui qui a reçu son témoignage, a scellé que Dieu est vrai; car celui que Dieu a envoyé parle les paroles de Dieu, car Dieu ne donne pas l’Esprit par mesure» (v. 33, 31). Paul aussi a commencé sa carrière d’une manière non officielle comme Galates 1:15-23 en rend témoignage. Nicodème voulait savoir qui était Jésus ; il est allé le trouver pendant la nuit, probablement parce qu’étant pharisien, il craignait de le faire publiquement. Plusieurs personnes nous sont présentées dans cette courte lettre. (v. 1-13). De la même manière, l’expression «ne nous reçoit pas» ne veut probablement pas dire qu’il ne recevait pas Jean pour la fraction du pain, car Jean était loin. Ayant expié les péchés par sa mort, il attire à lui tous les hommes, les Gentils aussi bien que les Juifs. Si le mensonge de Satan demeure en nous, nous ne pouvons que marcher de manière fausse et malhonnête vis-à-vis de Dieu. Jésus apportait la connaissance de Dieu, de ce qui lui convenait, de ce qui devait caractériser son royaume. Le début du chapitre 3 se rattache aux derniers versets du chapitre 2. Plus que jamais la lumière a resplendi sur leur état, et cette lumière était la vie (chapitre 1:4), Jésus qui, «venant dans le monde, éclaire tout homme» (chapitre 1:9). Mais personne ne demandait le sacrifice du Fils de Dieu. Ici il va même un stade plus loin en disant qu’il n’y a pas de plus grande joie que ceci. La vie humaine naturelle est faite de faiblesse, de souffrances et de la mort qui sont les conséquences du péché. Jean rend témoignage au verset 2 de ce que son âme avait prospéré au point qu’il ne pouvait que désirer que sa santé physique soit égale à sa santé spirituelle. (v. 1-13). Evangile de Jésus-Christ selon saint Jean. Ce texte se trouve dans l'Évangile selon Jean, au chapitre 3 et au verset 16. Jésus avait reçu le Saint Esprit dans toute sa plénitude et non par mesure, comme les prophètes qui se trouvaient sous une action momentanée de l’Esprit de Dieu, pour dire ce que Dieu voulait qu’ils disent, ainsi que nous le lisons souvent: «L’Esprit se saisit de lui» (voir Juges 11:29; 14:6; 1 Samuel 16:13; 2 Chroniques 20:14, etc.). Ici le frère, même étranger, mais qui porte diligemment la vérité pour le Nom, doit être reçu, et nous sommes heureux d’être identifiés avec lui à cause de la vérité qu’il apporte. » Comme docteur de la loi, Nicodème aurait dû savoir que le peuple juif ne pouvait avoir part au règne millénaire sans l’œuvre de la nouvelle naissance. 17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.… Il lui dit : « Rabbi, nous le savons, c’est de la part de Dieu que tu es venu comme un maître qui enseigne, car personne ne peut accomplir les signes que toi, tu accomplis, si Dieu n’est pas avec lui. Il vint révéler ce que Dieu avait dans son cœur pour de pauvres pécheurs perdus, qui ne pouvaient monter au ciel prendre connaissance de «ce que l’œil n’a pas vu, et que l’oreille n’a pas entendu, et qui n’est pas monté au cœur de l’homme, ce que Dieu a préparé pour ceux qui l’aiment» (1 Cor. Nous pouvons encore remarquer que les vérités contenues dans ces deux derniers versets sortent entièrement du cadre de l’enseignement de Jean le baptiseur, qui présentait simplement Jésus venant dans le monde et ne pouvait parler ni du Père, ni de la vie éternelle. La meilleure lecture attestée apparaît être cependant: «envers les frères, et cela [envers ceux-là même qui sont] étrangers». Commentaire biblique de Jean 3.16. Les deux natures ne se mélangent pas. Tel est ma joie et elle est parfaite, ajoutait Jean à des disciples inquiets de … Liste des commentaires composés et lectures linéaires : Un commentaire composé est l’étude personnelle et argumentée d’un texte dans le but de dégager ses intentions, ses effets et sa spécificité. Gaïus les recevait comme tels. Ce Gaïus peut très bien avoir vécu jusqu’à être très âgé, et exercer encore l’hospitalité quand Jean écrivait. Veiller au bien des serviteurs du Seigneur, c'est prendre part à l'Évangile (v. 8). Ils utilisent l’autorisation pour accréditer l’erreur qu’ils propagent, ce qui est un mal épouvantable. «Le Père aime le Fils, et a mis toutes choses entre ses mains. Il rendait témoignage de ce qui était dans le ciel, car il était un avec son Père; c’est pourquoi il dit: «nous disons ce que nous connaissons, nous rendons témoignage de ce que nous avons vus». C’est ce qui l’a caractérisé depuis son entrée en scène, comme nous l’avons remarqué au chap. Nicodème dit: «Comment ces choses peuvent-elles se faire? Le temps était passé, où Dieu s’occupait de l’homme dans la chair; l’épreuve avait pris fin. L’église officielle n’a pas aidé, quand elle ne s’y est pas opposée. ( Jean 1.13 ; 1Jean 2.29 ; 3.9 ; 4.7 ; 5.1 ) S'il avait voulu dire : naître de nouveau , il avait pour cela à sa disposition le verbe grec qu'emploie l'apôtre Pierre, ( 1Pierre 1.23 ) ou un autre terme exprimant le renouvellement de l'âme, et qui se trouve fréquemment sous la plume de Paul. — «Dieu n’a pas envoyé son Fils dans le monde afin qu’il jugeât le monde, mais afin que le monde fût sauvé par lui», nous dit le verset 17. Elle provenait du témoignage d’autrui. Qui croit au Fils a la vie éternelle; mais qui désobéit au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui». 1:13). Qui pourra jamais sonder l’étendue des richesses contenues dans le merveilleux verset seize du chapitre trois de l’évangile de Jean ? Toute conscience a été éclairée par la lumière de la présence du Fils de Dieu. Le royaume de Dieu était présent dans la personne du Seigneur qui en manifestait tous les caractères moraux; mais, pour le voir et pour y entrer (v. 5), il fallait être né de nouveau; sans cela on ne voyait en Jésus que le fils du charpentier, ou, comme Nicodème, un docteur envoyé de Dieu pour enseigner son peuple. Évangile selon St Jean. Lui seul lit au fond du coeur ce qui s'y trouve. Le vrai principe est justement le contraire. 13:12), c’est-à-dire pratiquer dans toute sa vie ce qui ne peut se faire que dans la lumière, afin d’être protégé contre l’influence des ténèbres. Il a péché; c’est là le résultat de toute son activité; comment pourrait-il réparer le dommage causé à Dieu et effacer ses péchés? Ce moyen devait, avant tout, satisfaire aux exigences du Dieu juste et saint que l’homme avait offensé, car, pour que le pécheur fût sauvé, Dieu devait recevoir pleine satisfaction à l’égard du péché, ce qui ne pouvait avoir lieu que par la mort, «salaire du péché». La lecture précisait : gardez-vous des idoles. Il y avait un homme, un pharisien nommé Nicodème ; c’était un notable parmi les Juifs. Jésus était si parfaitement l’expression de Dieu lui-même, de ses propres pensées, de ses paroles, que celui qui recevait son témoignage avait scellé que Dieu était vrai, parce qu’il avait entendu, non un intermédiaire, de la part de Dieu, comme Jean et les prophètes, mais Dieu lui-même. 3 Jésus répondit et lui dit : « En vérité, en vérité, je te dis : Si quelqu'un n'est pas né à nouveau 1, il ne peut pas voir le royaume de Dieu. Après avoir été de nuit, on recevra la force de rendre témoignage en plein jour, comme le fit Nicodème dans un moment critique (voir chap.